Pour cette fois j’énumère ces douze sens : sens du toucher, sens de la vie, sens du mou­vement, sens de l’équilibre, odorat, goût, vue, sens de la chaleur, ouïe, sens de la parole, sens de la pen­sée, sens du moi. Notre vie psychique tout entière se meut à l’intérieur du cercle de ces douze sens qua­siment de la même façon que le soleil se meut à l’intérieur du cercle des constellations.

Il ne semble pas tout à fait approprié, alors que nous vivons des temps fatidiques, de se livrer quand même à des réflexions sur la Pentecôte au sens ha­bituel du terme, comme nous l’avons fait par le passé, car nous vivons bien en un temps où l’humanité traverse des épreuves douloureuses.

L'étude du corps physique en lui-même fait partie, il faut le reconnaître, des problèmes les plus difficiles de la clairvoyance.

Les interactions sociales nous fournissent l'occasion de voir nos propres pensées, sentiments et motivations reflétés dans les réactions et les réponses des autres. Les commentaires ou les réactions des autres agissent alors comme un miroir pour nos propres pensées et émotions, nous aidant ainsi à prendre conscience des aspects de nous-mêmes que nous pourrions ne pas reconnaître consciemment.

Bien que l’Ascendant ait chez chacun de nous une portée vaste et profonde, il reste qu’il faut le considérer en liaison avec l’ensemble du thème et surtout avec le signe solaire, si l’on désire en comprendre pleinement la signification pour un indi­vidu particulier

Le thème natal renferme énormément de facteurs à interpréter quand vous cherchez à décrire votre partenaire idéal. Regardez d’abord la position du Descendant en signe et les planètes situées en maison 7, ainsi que tout ce qui concerne Vénus.

Mais ce qu’il importe surtout de voir, c’est que de tels événements se préparent longtemps à l’avance.

Une pathologie ne prend son sens que par rapport à un âge de la vie : pour poser un diagnostic, le clinicien prend en compte l'âge du sujet. Comme nous l'avons vu pour l'enfant et l'adolescent, il existe des pathologies spécifiques à l'âge adulte.

Le terme « adulte » se différencie principalement de l'enfance et de l'adolescence. Son origine remonte au latin adultus, qui signifie « qui a fini de croître ; qui a grandi », suggérant ainsi un sentiment d'accomplissement, d'être un « produit fini ».

C’est dans notre partie la plus inconsciente et notamment dans ses aspects refoulés, non reconnus ou rejetés par nous-mêmes que se trouve notre ombre.

L’attention au développement du Soi de celui qui conduit une psychothérapie en profondeur naît dès l’époque de Sigmund Freud (1910), et de ses attentes que les candidats à la psychanalyse se soumettent à une analyse personnelle propre, comme faisant partie de leur formation.

Si vous êtes comme la plupart des gens, vous entrez en contact avec les autres chaque jour au travail. Par conséquent, vous parlez et vous écoutez. Mais, écoutez-vous vraiment ?

Il est aujourd’hui admis que la qualité des premières expériences d’un enfant en matière de relations proches va significativement influencer son développement.

On est constamment amené à constater à quel point il est difficile pour nos contemporains de comprendre la vie théosophique. C’est pourquoi nous allons exprimer ici quelques pensées générales à ce sujet.

Ainsi résonna, pendant des millénaires, la parole sacrée issue des Mystères antiques initiatiques : Ô homme, connais-toi toi-même ! Elle nous a été transmise en particulier par les Mystères du Temple d'Apollon de Delphes.

Des problèmes comme ceux de la contraception et de l'avorte­ment ne peuvent, comme tout ce qui concerne l’homme, trouver de solution si seul leur aspect matériel est envisagé. Ceux pour qui la vie n'est qu'un agencement de molécules ne sauraient la respecter davantage qu'un caillou, dont la valeur se réduit à son utilité.

Ceux qui, parmi vous, sont plus ou moins pénétrés de psychanalyse auront entendu, dans l’intitulé de mon exposé, une résonance spécifiquement freudienne. Cela, bien entendu, n’étonnera personne. Je fais allusion à un texte de Freud paru en 1915 : Pulsions et destins des pul­sions.

La conscience est une petite flamme invisible et qui tremble. Nous pensons souvent que son rôle est de nous éclairer, mais que notre être est ailleurs. Et pourtant, c’est cette clarté qui est nous-même. Quand elle décroît, c’est notre existence qui fléchit ; quand elle s’éteint, c’est notre existence qui cesse.

La véritable connaissance consiste à s’effacer devant l’objet. Ce sont ceux qui sont le mieux capables de s’effacer qui reçoivent du dehors et du dedans les touches les plus nombreuses et les plus dé­licates. Le respect de l’expérience externe et interne exprime une parfaite modestie à l’égard de l’univers et une parfaite piété à l’égard de Dieu.

La vocation de l’homme est l’ouverture de son champ de conscience, dont le Moi est le centre, alors que le Soi est le sujet de la totalité : corps, psychisme et âme.