Le contre-transfert négateur
Publié par Pascal Patry dans Psychothérapie · Mercredi 03 Août 2022
Tags: Le, contre, transfert, négateur
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Le contre-transfert négateur« Ne demande pas que ce qui arrive, arrive comme tu veux.Mais veuille que les choses arrivent comme elles arrivent, et tu seras heureux. »EpictèteNous ne pouvons rencontrer une personne qu’au moment où nous renonçons à l’illusion de la com-prendre, pour la considérer comme un être en marche vers son futur. Comme l'a écrit Kierkegaard : « Le Soi c’est seulement ce qui est en train de devenir ».Mais il est difficile de s’ouvrir à l’in-fini d’un être en “devenir” car il nous place devant le mystère de la vie, au-delà des “garde-fous” de nos illusoires certitudes étayées par des théories savantes ou des croyances rassurantes. Bien souvent la rencontre avec l’autre dans sa différence nous panique et nous fait réagir soit par le rejet, soit par la fusion ; deux attitudes négatrices de l’altérité qui instaure des relations de pouvoir. « Là où l’amour manque, le pouvoir occupe la place vacante » écrit Jung.[1]Le thérapeute doit avoir appris à ne plus penser à partir d’une illusoire totalité théorique, mais à partir d’une relation. La parole vraie naît dans un au-delà du discours qui s’ouvre par la loi du « tu ne tueras point », car il y a des meurtres psychiques. L’homme est voué au langage, il ne peut s’épanouir que dans un vrai dialogue permettant à chaque interlocuteur de se retrouver enrichi par la “réflexion” de l’autre. « Dans toute relation où le sujet, se heurtant à la dimension propre de l’autre, le conjecture d’après soi, jauge l’inconnu d’après ce qu’il connaît et prend pour des réalités ses craintes ou ses désirs, écrit Éliane Amado Lévy-Valensi, un meurtre psychique est commis ».L’homme s’ouvre au monde par sa parole et sa pensée, toute intervention extérieure qui s’oppose à ce mouvement le ferme et l'enferme.L'analysant ne vient pas chercher chez l’analyste une connaissance, mais une reconnaissance. Dans un premier temps le patient ne symbolise pas, et ce n’est qu'en faisant l’expérience de la différence avec l'analyste, celui qui ne cherche pas à l’enfermer dans le Même, qu’il pourra franchir une étape en accédant à sa pensée. C'est en percevant l'analyste comme étant celui qui ne peut pas le comprendre, qu'il fera l'expérience de l'altérité radicale, expérience par laquelle il deviendra en mesure d'aborder l'autre inconnu en lui, son inconscient.Encore faut-il se rendre à l'évidence que le patient, le plus souvent, attend que quelqu'un pense à sa place, car penser demande un difficile engagement qui peut être angoissant, alors il s'échappe dans l'intellectualisation. Intellectualiser pour ne pas penser, car la pensée c'est la créativité en action et la créativité c’est la Vie ; intellectualiser c'est manipuler des mots morts du passé d'autrui pour construire un mausolée.« Donnez-moi vos mots pour dire la chose muette en moi, c'est la formule du transfert » écrit Michel Schneider, et qui poursuit : « L'analysant voudrait d'abord être déchargé de son trouble de penser, ne pas avoir à penser. Au sens plein du terme, le contre-transfert n'est pas l'aveu involontaire des mouvements psychiques de l'analyste, mais le fait de dispenser l'autre de son trouble de penser en lui dispensant la pensée du psychanalyste. L'analyste doit faire face à une étrange demande : la demande du patient d’être plagié, volé de ses significations mises en mots par l'analyste, ce qu'une patiente exprimait ainsi en tout début de son analyse : « Je viens ici pour que vous me racontiez mon histoire ». Ne pas céder est difficile, car l'analyste est là pour aider à donner un sens, une continuité à cette suite d'événements épars et d'affects contraires qu'on appelle une vie. Mais, ne nous prenons pas pour des écrivains ; soyons de bons relieurs. » [2]Le contre-transfert négateur s’actualise par un “passage à l’acte” en paroles. Le psychanalyste doit avoir compris que le savoir inconscient fonctionne selon d’autres enchaînements que le discours conscient. Voici un exemple pour illustrer cela :Pendant les premiers mois de son analyse, une patiente que j’appellerai Dominique n’arrivait pas à exprimer une seule phrase complètement. J’entendais ceci : « Oui je… n’est-ce pas… Je dirais… mais n’est-ce pas… j’sais pas… etc. » Toutes ses tentatives se terminaient par un échec. De plus pendant toute cette période, je n’ai pu qu’apercevoir son visage dissimulé par de longs cheveux et un col roulé remonté jusqu’au nez. Elle se cachait. Sa mère l’avait rejetée parce qu’elle était un troisième enfant non désiré, et la troisième fille, alors qu’un garçon était attendu ; son prénom d’ailleurs laissait planer une incertitude quant à son sexe.Je dois dire qu’au fil des séances je sentais monter en moi un découragement associé à une agressivité que je m’efforçais d’analyser.Pourquoi étais-je atteint par cette attitude ? N’était-ce pas par la mise en échec de ma capacité d’aider ? Mes interventions tombaient dans le vide et provoquaient des silences prolongés.Je compris alors que j’étais préoccupé par mon désir de faire parler cette patiente qui subissait “la question” et refusait de trahir son secret.Je cessai alors mes interventions, et un jour je me sentis poussé à lui dire : « peut-être jouons-nous à cache-cache et comme nous ne nous sommes pas trouvés, je commence à me sentir fatigué » ; ce qui était une vérité profondément ressentie.Alors elle s’est mise à rire et pour la première fois je perçus la vie dans son corps. Cette intervention fut déterminante, une page était tournée et le travail analytique commença. D n’y avait aucune explication à ce changement, sinon mon aveu d’impuissance. Peut-être même que les moments charnière d’une analyse resteront à jamais inexplicables, mais ils se vivent ; alors, pourquoi vouloir comprendre ?Jung écrit : « Tous les déroulements psychiques qui ont lieu dans le cadre du conscient peuvent être explicables de façon causale ; en revanche, le moment créateur qui plonge ses racines dans l’immensité diffuse de l’inconscient restera sans doute fermé à tout jamais aux assauts de la connaissance humaine. Il se laisse décrire dans ses manifestations, il se laissera soupçonner, mais il échappera sans doute toujours dans son essence. » [3]Le contre-transfert est l’outil indispensable à la relation analytique, mais il doit être analysé minutieusement à chaque instant.C’est à l’analyse de son “Ombre” que le thérapeute doit apporter la plus grande attention. C’est dans notre Ombre archétypique que réside la pulsion de destruction inhérente à la condition humaine et qui, en l’occurrence, se manifeste par le désir d’exercer un pouvoir sur autrui afin d’obtenir une gratification narcissique. Tout contre-transfert, s’il n’est pas éclairé puis analysé, risque d’être un contre-transfert négateur. J’entends donc désigner par “contre-transfert négateur”, toute attitude, tout discours de l’analyste qui, issus d’un contre-transfert négatif, mais aussi et surtout d’un contre-transfert positif, bloquent l’émergence du sujet, en lui barrant la voie d’accès à l’ouverture sur sa créativité.Le contre-transfert négateur revêt de multiples formes, mais je n’en aborderai que quelques-unes.Dans son livre “Les Mains du Dieu vivant”, Marion Milner écrit que « l’hyperangoisse d’être une bonne analyste me conduisit à donner trop d’interprétations ». Après quatre années de thérapie elle constate son erreur : « lentement je découvrais qu’il me fallait renoncer à essayer si âprement de la pourvoir d’explications, un renoncement que je trouvais difficile, étant donné qu’elle réclamait toujours. Au lieu de cela, je sentais qu’il me fallait apprendre à attendre et à veiller, et à lui faire savoir que j’étais là, veillant, et ne pas me laisser induire à ce trop dur travail pour elle, ses préoccupations inconscientes ; car j’en vins à soupçonner que si je me laissais séduire, ce que je faisais constamment, cela ne pouvait que différer, peut-être désastreusement, le moment où elle trouverait ce à quoi elle était parvenue elle-même. » [4]Cet exemple illustre bien le grave danger du contre-transfert négateur (bien que positif en l’occurrence). Marion Milner découvre alors la valeur d’un certain silence « un blanc, dit-elle, un cercle vide, une vacuité d’idées » [5], elle s’impose plus de rigueur et à ce moment commence l’analyse.Freud, Jung et d’autres nous mettent en garde contre une tendance qui pousse certains thérapeutes à comprendre et à expliquer les rêves et associations de leurs patients ; or « la psyché ne peut jamais connaître quelque chose au-delà d’elle-même » [6] écrit Jung. Le rêve mis en mots est déjà considérablement dénaturé et amputé, il y perd sa vie comme un papillon épinglé dans la boîte d’un collectionneur, mais si en plus il est soumis à l’interprétation d’une personne étrangère, que peut-il en subsister ?« La véritable compréhension, écrit Jung, semble être une compréhension qui ne comprend pas, mais qui vit et œuvre… La compréhension est un pouvoir terrifiant parfois même un véritable assassinat de l’âme. » [7]L’analyste doit laisser œuvrer un facteur inconnu par l’ouverture que son intervention doit provoquer ; alors que toute tentative d’explication est fermeture. Et Jung, parlant de l’analyse, dit ailleurs : « sa méthode repose plutôt sur l’évaluation du symbole et ceci non pas de façon sémiotique, en tant que signe de processus instinctuels élémentaires, mais symboliquement dans le vrai sens du terme, le mot symbole étant considéré comme signifiant l’expression la meilleure possible d’un fait complexe, mais non clairement appréhendé. » [8]A. Guggenbühl nous met en garde contre un danger majeur de notre profession, celui de l’analyste inconscient, charlatan et faux prophète :« finalement l’interprétation reste un art et n’est pas un métier, et l’essentiel, en vertu de notre équation personnelle, peut à chaque fois être perdu de vue. À cela s’ajoute le fait que les productions de l’inconscient sont presque toujours ambivalentes comme l’oracle de Delphes. Que l’on comprenne l’inconscient tantôt comme ci, tantôt comme ça, dépend de moi. Ce qui est arrivé à Crésus avec l’oracle, peut nous arriver aussi, à savoir que nous interprétons l’inconscient selon nos désirs et le comprenons mal… Quelles conséquences devons-nous tirer du fait que nous succombons à l’occasion à l’ombre professionnelle, celle du charlatan, du faux prophète et de l’analyste inconscient. » [9]La psychologie analytique se différencie de la psychologie, dans la mesure où, écrit Jacques Durandeaux, celle-ci « n’est plus qu’un corpus de comportements, d’explications, d’interprétations et d’aphorismes qui reviennent à annuler l’inconscient tout en affirmant le contraire… Dans sa polarisation sur l’interprétation et l’explication, dans son souci précipité d’efficacité, la psychologie méconnaît, en fin de compte, ce sur quoi elle prétend théoriquement se fonder. » [10]La psychologie analytique n’est pas à la recherche d’une “Vérité” sur l’homme, sa démarche se situe là où, en dehors des explications rationnelles un sens se révélera. Mais il ne faut pas confondre “sens” et “signification”. Vouloir expliquer c’est tenter de normaliser, or, écrit Jung :« Ce serait une faute de l’art, qui pour être grave n’en est pas moins fréquemment commise, de prétendre normaliser des êtres de cette sorte, c’est-à-dire de vouloir les ramener au niveau moyen. Cela reviendrait à l’occasion à détruire tout ce qui en eux est germe et promesse de développement individuel. Puisque l’individu représente l’unicité, l’imprévisible et l’ininterprétable absolu, le thérapeute en face de lui doit renoncer à tous ses présupposés et à toutes ses techniques et se borner à une attitude qui sait se dépouiller de toute méthode…Il (le procédé dialectique) ne consiste pas en une continuation pure et simple du développement des théories et des pratiques antérieures, mais en un renoncement total à celles-ci au bénéfice d’une attitude aussi peu préjudiciée que possible. En d’autres termes : le thérapeute n’est plus le sujet agissant mais un co-participant à un processus de développement individuel…Il (le thérapeute) est contraint de remarquer que ses idiosyncrasies, ou son attitude particulière, entravent l’évolution du malade, entravent la guérison. » [11]Dans “l’histoire d’une névrose infantile” Freud insiste sur la nécessité pour l’analyste « d’éliminer radicalement ses convictions préexistantes » [12]. Pour cela, il faut être disponible, avoir abandonné l’espoir de découvrir une vérité qui nous libérerait tout en renforçant notre sentiment de toute-puissance.L’analyste doit être attentif à son “ombre” où se loge la volonté de puissance destructrice de l’autre. La destructivité la plus pernicieuse étant souvent celle qui se cache sous le masque du thérapeute voulant se mettre à la place de son patient. Théodore Reik écrit : « La théorie analytique n’est pas un instrument interprétatif. On en use fréquemment de cette manière, mais à tort… Chaque fois que l’on utilise la théorie de cette manière, on commet une sorte de crime contre l’embryon vivant de toute connaissance analytique.La terminologie sert la tentation du confort intellectuel qui substitue ce qui est appris à ce qui est vécu et ce que nous nous sommes approprié à ce qui nous est propre » [13]Oui, certains thérapeutes, ceux qu’on nomme ironiquement les “techniciens de l’amour du prochain” croient posséder la vérité ; ils se donnent cette illusion pour tenter de colmater leurs failles. Or si “Je” possède la vérité, “Tu” es voué à l’inexistence, car non reconnu dans l’altérité qui le fonde. Rappelons que l’exercice du pouvoir par le contre-transfert négateur passe, le plus souvent par l’identification avec un rôle social. Jolande Jacobi écrit : « La persona doit en gros protéger un Moi encore faible… La peur de son prochain, du “Toi” font qu’une persona “un masque”, se développe, qui servira de façade, le maquillera et le rendra le plus aimable possible. Plus le Moi est faible, moins l’être humain se sent sûr de sa propre valeur et plus grande est son aspiration à être approuvé, et d’autant plus grande sera sa tendance à posséder une persona plaisante et positivement agissante. » [14]Mais si, en intervenant, l’analyste court le risque de tomber dans les pièges que nous avons signalés, quel doit être l’objet de l’interprétation ? Notons qu’il ne faudrait pas verser dans l’excès inverse et caricatural de l’analyste muet, car il n’y a pas d’analyse sans interprétation.L’analyse est une “prophylaxie de la dépendance” nous dit Lacan ; nous ne devrions pas l’oublier pour ne pas être victime de notre contre-transfert négateur, destructeur de l’autonomie du patient. L’analyste est là pour accueillir la parole de l’analysant, il n’est pas chargé d’apporter la “bonne parole”. C’est la « formulation qui trahit un souci exclusif de décryptage, de traduction, et qui n’est qu’une prédication permanente » écrit C. Stein.[15] L’élucidation consciente, que proposent certaines interprétations est, le plus souvent, vouée à l’échec, car elle repose sur la linéarité et l’intelligibilité, deux carcans que ne connaît pas l’inconscient. Le cadre analytique institue une subversion du langage coutumier afin de retrouver l’ancrage singulier et onirique de la parole émotionnelle dont parle Ombredane « particulièrement intéressantes sont les dégradations que l’émotion impose à la langue employée…Aussi bien on voit, dans le langage affectif de l’adulte, s’affaiblir les structures verbales, laissant apparaître des lapsus, des condensations de mots, du jargon. On observe la répétition et la litanie. Les mots perdent leur sens exact, des termes excessifs apparaissent, des expressions vulgaires jaillissent, des contenus très divers s’expriment dans des formules pauvres, stéréotypées, dans des à-peu-près rudimentaires. » [16]C’est à l’écoute de ces signes que doit être attentif l’analyste pour étayer ses interventions et préparer ses reformulations afin que le patient s’entende.Maintenant je pense devoir souligner que l’essentiel de l’interprétation doit porter sur les manifestations de la frustration et du désir qui en est le refus, le désir est toujours désir de possession d’une totalité illusoire par une prétention mégalomaniaque du Moi. L’intervention de l’analyste doit inviter le patient à s’entendre dans ce qu’il dit et à entendre, dans le transfert, ce qu’il ne dit pas explicitement. L’intervention doit tenter d’amener l’analysant à reconnaître que son désir est refus de la frustration.Si par un besoin d’aider, qui caractérise le contre-transfert négateur, l’analyste nie la frustration inhérente à la condition humaine, il installe le patient dans l’obsession.Si par des “amplifications” ou une "imagination active” mal comprises, l’analyste engage le patient dans une identification à un mythe, il nie également la frustration et ouvre la voie à la perversion.Étant donné la prévalence de la référence à l’imago maternelle dans la fantasmatique de la relation d’aide, il est d’une importance capitale d’être attentif à l’ombre prégénitale du futur thérapeute. Luigi Aurigemma écrit :« … Les analystes, hommes et femmes, doivent se garder de déverser sur leurs analysants d’éventuels sentiments maternels mal intégrés en les protégeant à l’excès justement de la souffrance qui leur est demandée pour que l’éveil véritable et donc la véritable guérison s’ébauchent : la volonté d’aider et de guérir, fille à ce moment-là non pas d’un Soi qui s’épanouit, mais bien plutôt d’un Moi subtilement pétri de désir de puissance parce que peut-être trop près d’une identification avec l’archétype du guérisseur, et aussi, éventuellement, passablement craintif d’avoir à plonger dans des abîmes de souffrance, la volonté d’aider et de guérir peut, à ce moment-là, venir empêcher ou du moins gêner l’appréciation libératrice de la limite de l’insupportable. » [17]Le contre-transfert négateur est le fruit d’une confortable illusion de toute-puissance dont l’effet immédiat est la négation du mystère de l’altérité de l’autre et comme écrit Michèle Montrelay « l’analyste n’aura rien fait que chanter sa propre chanson sur fond de silence. » [18]Enfin, il faut surtout que l’analyste admette que l’analysant n’est pas sa création, et paraphrasant Kahlil Gibran, nous conclurons :« Vos (analysants) ne sont pas “Vos” (analysants)Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-mêmeVous pouvez leur donner votre amour, mais non point vos pensées, car ils ont leurs propres pensées.Leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter pas même dans vos rêves.La vie ne va pas en arrière ni ne s’attarde avec hier.Vous êtes les arcs par qui vos (analysants), comme des flèches vivantes, sont projetées.Que votre tension par la main de l’Archer Soit pour la joie. » [19]---Source : Ballade pour un jeune thérapeute - Paul Montangérand - Ancien Président de la société de psychanalyse et de psychothérapie de Genève.---Notes[1] - JUNG. Gesammelte Werke 9/1 - 167.[2] - Michel SCHNEIDER. « Voleurs de mots » p. 324-325. Gallimard 1985,[3] - JUNG. « Problèmes de l’Âme Moderne » p. 323. Buchet Chastel I960,[4] - Marton MILNER. « Les Mains du Dieu vivant » p. 77. Gallimard,[5] - Manon MILNER. Ibid. p. 313. Gallimard.[6] - JUNG. « Psychologie et Éducation » p. 45. Buchet Chastel 1963.[7] - JUNG. Letters Vol. 1 1906-1950p.29. Londres Routledgeet Kegan.[8] - JUNG. Collected Works Vol 8. p. 148,[9] - Adolf GUGGENBUHL. « Pouvoir et relation d’aide » p. 48. Pierre Mandaga 1985[10] - Jacques DURANDEAUX. « Poétique analytique » p. 43, Seuil 81.[11] - JUNG. « La Guérison Psychologique » p. 87, Georg et Cie 1953.[12] - FREUD. « Cinq Psychanalyses » p. 329. Presses Universitaires de France 1967,[13] - Théodore REIK, « Le Psychologue surpris » p. 105. Denoël 1976.[14] - Jolande JACOBI. « Le Masque de l'Âme. Regards sur la psychologie du quotidien » Walter OIten 1971,[15] - Conrad STEIN. « L’Enfant imaginaire » p. 109.[16] - OMBREDANE. « L’Aphasie » p. 268.[17] - Luigi AURIGEMMA.[18] - Michèle MONTRELAY. « L’Ombre et le Nom » p. 34. Éditions de Minuit 1977.[19] - Kahlil GIBRAN. « Le Prophète ».
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