La vie après la mort - 1
La vie après le mort - 1La dernière fois qu’il m’a été donné de parler à un certain nombre d’entre vous, notre Gœtheanum existait encore. J’ai eu alors une très grande satisfaction à m’exprimer devant un groupe d’amis français.Cette satisfaction se trouve renouvelée aujourd’hui du fait que ces amis m’ont invité à traiter ici de quelques sujets relatifs à l’Anthroposophie. Je remercie ces amis de leur si aimable invitation.J’en remercie en particulier Mademoiselle Sauerwein, et je suis également heureux que Monsieur Sauerwein, qui, lors de mes conférences de Dornach, en 1922, les traduisit en français, d’une manière si obligeante, ait bien voulu assumer aujourd’hui la même tâche. Je lui en suis tout particulièrement reconnaissant.Certaines choses, dans le mouvement anthroposophique, se sont transformées depuis lors. Cette transformation provient de ce que nous avons pu, relativement peu de temps après avoir été frappés par la perte du Gœtheanum, tenir le Congrès de Noël auquel nos amis anthroposophes participèrent d’une manière si intense.Ce Congrès a donné, je crois, une impulsion nouvelle au mouvement tout entier, et, en particulier, à la substance de l’activité anthroposophique elle-même.Une chose également nouvelle dans le mouvement anthroposophique, c’est que je me sois chargé de la présidence de la Société, alors que jusqu’ici je ne me considérais que comme un Instructeur, le poste de président étant assumé par d’autres. Ce fut pour moi, une décision très importante même à l’égard des mondes spirituels.---Articles liés :
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