Dans son article « Qui suis-je que j’aime ? », Rosemary Gordon, citant Robert Hobson, écrit :
« il émet l’idée que c’est le but idéal de la psychothérapie que d’entrer en communication avec ce noyau de solitude d’un être, sans pour autant altérer la capacité créatrice attachée à cette solitude. »
Puis elle poursuit :
« Alors qui est ce “soi-même” dont le noyau est la solitude, ce soi-même qu’on doit pouvoir aimer avant de pouvoir aimer les autres ? Ce soi-même qui peut donner le jour à une idée, un chapitre, une œuvre d’art, une relation d’amour ? »