Ceux qui, parmi vous, sont plus ou moins pénétrés de psychanalyse auront entendu, dans l’intitulé de mon exposé, une résonance spécifiquement freudienne. Cela, bien entendu, n’étonnera personne. Je fais allusion à un texte de Freud paru en 1915 : Pulsions et destins des pulsions.
La Lune noire n’existe pas ! Je conviens que c’est là une affirmation pour le moins provocatrice, voire paradoxale. Mais il est nécessaire de garder à l’esprit cet essai de définition préliminaire pour analyser de façon pertinente le jeu de la Lune noire dans un thème. Lorsque nous affirmons que la Lune noire n’existe pas, cela ne veut pas dire qu’elle ne correspond à rien.
Ce qui fait marcher l'astrologie, c'est bien l'Humain. « Il n'est de richesses que d'hommes » est une phrase connue de Jean Bodin. Ou comme le disait Saint Martin : « Expliquer les choses par l'Homme, et non l'Homme par les choses ». Nos observations sur le monde renseignent sur nos propres constitutions.
Les structures psychiques qui n'accèdent pas à la lumière de la conscience ont un pouvoir organisateur sur les circonstances extérieures de notre vie et attirent à elles les événements dont nous avons besoin, comme autant de miroirs magiques révélateurs de notre nature profonde. Carl Gustav Jung - Psychiatre
La Synastrie est la réunion d'étoiles dans un ciel commun, l'union de deux ou plusieurs masses d'énergie qui tentent de fusionner vers un même but. L'étude de la synastrie est celle des échanges entre deux ou plusieurs personnes, des multiples interactions à l'oeuvre entre individus, qu'elles soient apparentes ou pas.
La maison XII représente la vie intérieure, le besoin d'un jardin secret, l'isolement pour réfléchir, pour penser, pour faire le point, pour méditer. L'image que suscite la maison XII est « le penseur » de Rodin.
La maison XI représente les grands espoirs et les projets, ainsi que les appuis et les protections nécessaires pour les atteindre. Par analogie avec le Verseau, onzième signe, la maison XI détient aussi les valeurs de liberté, d'indépendance, d'amitié et d'esprit confraternel.
La maison X, c'est le milieu du ciel, le point culminant du thème. D’abord, elle représente nos relations avec le père, puis avec l'autorité. Ensuite, elle indique nos tendances à acquérir, à obtenir et à maintenir notre propre autorité ou situation, face au monde.
La maison IX détient les valeurs de philosophie, échelles de valeur personnelles. Elle désigne aussi le « mental supérieur », les hautes études, et le « savoir » qui permet de faire autorité, d'imposer sa « loi » et d'être ainsi reconnu.
En tant que planète de la responsabilité, Saturne impose ses fardeaux à l'individu afin qu'il comprenne l'importance de ses besoins propres. En assumant ses charges au mieux de ses capacités, il donne forme à la valeur de son être.
Pour comprendre le nœud sud en VIII, il nous faut d'abord parler du Scorpion et de la maison VIII, intimement liés, vécus antérieurement, et desquels résulte le karma actuel VIII-II du natif.
La maison VI détient les valeurs de service, de devoirs et d’obligations à assumer en vertu des droits dont nous disposons, y compris vis-à-vis des gens que nous servons, ou qui dépendent de nous.
La maison V représente les plaisirs, les amusements, les amours et les liaisons. Elle détient aussi nos pouvoirs de création, nos facultés de produire… des œuvres, ou des enfants. C'est la procréation ou la création à partir de tout ce que nous avons « dans le ventre ». C'est aussi, en analogie avec le Lion, le spectacle.
La maison IV représente nos racines les plus profondes, nos origines, la matrice maternelle sécurisante, notre subsistance, l'enceinte familiale protectrice.
Il va falloir élargir vos œillères, dépasser la clôture du jardin et des apparences. Votre compréhension du monde était bien trop étriquée et limitée au petit train-train quotidien.
Une avidité des sens a pu, à certaines époques, vous conduire à des excès de comportement. Pour obtenir ce que vous souhaitez ou pour conserver ce que vous avez, vous pouvez ou avez pu mener une vie trop motivée par l'acquisition de biens ou de richesses, au-delà du nécessaire.