Ceux qui, parmi vous, sont plus ou moins pénétrés de psychanalyse auront entendu, dans l’intitulé de mon exposé, une résonance spécifiquement freudienne. Cela, bien entendu, n’étonnera personne. Je fais allusion à un texte de Freud paru en 1915 : Pulsions et destins des pulsions.